vendredi 24 février 2012

Comment se retrouver en dessous de tout.


Zen Eric,
zen
Retourne dans ton puits et dis leurs bien merci puisque qu'ils t'y tolèrent encore.
Tu as cru voir passer un signe ?
N'était-ce pas plutôt le mirage soufflé d'un rêve sans terre ?
Ils censurent l'écrivain,
le photographe,
le peintre,
le poète,
l'artiste,
le derviche,
314 le prophète,
l'homme...
croyais-tu vraiment qu'ils épargneraient le cancéreux dans sa dernière ligne droite ?

sLv

Aussi, quelle idée d'aller leurs écrire celà. Alàlàlàlà...



rooo... "si tu n'as pas une montre de mille salaires à 50 ans, c'est que tu as raté ta vie"...
"Une civilisation, elle peut être supérieure à une autre"...
ben ces gars là...
O
- A genoux for story, please -

Tu vois, ils viendraient maintenant personnellement me dire pardon,
je leurs dirais : ce n'est pas moi que tu as offensé le plus par tes propos,
évidement influencés par tes choix de vie auxquels ils se sont arrimés.
Ce sont nos pères qui se sont battus, parfois jusqu'à la mort,
pour le partage jusqu'aux plus pauvres, de la nourriture, de l'eau, de la culture.
Ce sont ces hommes qui furent esclaves jusqu'aux fers rouges des peaux.
Ce son...
Celui-ci semblait-il bambou là, que tu te mis à rire dans cette assemblée face aux yeux du monde ?
Et quand tu entendis cet homme, cet esprit, relié à l'histoire, ton histoire,
parler de ces pas qui conduisent aux génocides,
que l'on te vit, vierge pucelle, fuir avec ton troupeau, laissant parole hurler à ta vide présence,
quitter l'agora pour continuer ailleurs tes visqueuses opérations,
tes mots emmiéllant à vomir ta mise à mort
- avérée -
des ondes démocratiques
françaises.
Hugh !


Quand je dis personnellement, c'est à dire ici publiquement.
J'ai reçu suffisamment de générosités via les tubes à mails
Ces tubes à rats diplô-mastiks
où se joue Liberté
serrée.



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