mardi 31 janvier 2012

Corolle à fruits

oh hisse !
La saucisse !

Corolle à fruits
Elle n'a pas de fond me diras-tu.
C'est exact. Si tu veux la déplacer quand elle est garnie,
il te faut, par exemple, une assiette pour le fond.
Cela devient un objet bi-culturel.

Ta belle assiette.
Sol à tes fruits en offrande.




C'est sûr que s'il n'y a qu'une seule pomme, ce n'est pas trop utile :
elle passe au travers.
Comme tombée des nues
http://media.wizzz.sdv.fr/9/5/6/8/4/2/2/6/0/1/original.jpg
 S'il y en a 3, ce doit être possible qu'elles tiennent ensemble.
Même sans le fond. Aux yeux de tous.

lundi 30 janvier 2012

Boule ou bille,

Boule ou bille,
dedans ou dehors ?

L'astrolabe ?

Bloup ! Que faire quand vient le vide des élans achevés ?

La peinture ?
Schématiser encore ?

« L'homme qui s'épointe dans la prémonition, qui déboise son silence intérieur et le répartit en théâtres, ce second c'est le faiseur de pain »

Ben j'ai encore du boulot... 



Pour "le livre du dehors", c'est en quelque sorte très simple :
il suffit de reprendre des notes à partir de disons :
Onecom L
hé hé, et le tour est joué, retourné comme une peau de banane.
En disant Onecom L, vu que le blog fut détruit par la censure,
je pense que c'est un bon point d'articulation.
Porte-parole pour tous les autres...
J'ai cheminé quelques années vers l'intériorité la plus profonde.
Du mieux que j'ai pu.
En ai fait mille notes.
Dont celle-ci :


Petit vase
Acier + latex
dur mou
intérieur extérieur
patatis, patatas
C'est une réalisation que j'ai gardé longtemps.
Elle préfigure l'arrivée des Palapalalas, assurément.
Sa photo suffit bien.
Visible par tous.


dimanche 29 janvier 2012

c'est dimanche il est soir

Tourne le temps
c'est dimanche il est soir
Rûmî dit que si tu fais mille choses
mais pas une pour ton Seigneur des Mondes
c'est comme si tu n'avais rien fait.

On peut dire que dans tout ce que tu fais,
si tu n'as pas une pensée pour ta présence active au Monde,
tu te poses dans une existence où une certaine forme de grandeur est absente.

Elle n'est pas indispensable pour ton chemin ici-bas,
tu vis la vie des hommes dont l'histoire a rempli mille tiroirs.
Celle dont la lumière, sirènes d'autres hommes,
te miroitent la sortie du tunnel.

Je suis bien content de ne pas être chef,
même si j'ai aimé participer aux choix que je pouvais.
Avoir à ma suite une traîne d'âmes guidées dans mon erreur commise...
brrr

Un an après avoir quitté les Beaux-Arts de Nancy, j'ai commencé ma petite entreprise de design industriel.
Je dis Nancy parce que l'Art Nouveau fut d'une grande influence chez moi. Les circuits de vie des fleurs, des lignes comme des formes. Celles que j'avais à faire, puisqu'elles m'aidaient à comprendre le monde.
Hé oui ! si aujourd'hui je glisse d'une note à l'autre des mots en marines douces, je n'ai pas toujours été ainsi ! J'ai partagé l'existence d'autres hommes, m'y suis façonné et regardé les résultats obtenus. Tu vois ? c'est impossible que tu me suives dans la veille de ma vie. Elle est pourtant comme la tienne, fascinante, riche poussière dans une flamme, si cendre quand parfois tes mains caressent la Mort en Espoirs de Repos.

samedi 28 janvier 2012

L'Île de Pâques

Puis,
des hommes sont arrivés.
Croyant bien faire, ils ont relevé les Moaïs, Dieux géants.
Hélas ou heureusement, ils en dirigèrent les Regards vers l'océan.
Grosse erreur. Pour qui, pourquoi.
Les Moaïs
étaient censés regarder les hommes, pour les protéger.
Cette Île est un message incroyable que personne ne semble voir.

Toi qui semble attendre le Messie.
Il est déjà passé, tu savais pas ?

Alors, des chefs guerriers se rencontrèrent.
" Pas là, pas là, là, dirent-ils, notre Monde meurt
à la mode de chez nous." Aux yeux de tous présents,
des femmes jusqu'aux enfants des hommes.
Tu te rends conte cette lucidité de dernier temps,
qui va des déjà-vus, entre-aperçus, fugaces furtifs,
jusqu'aux Oulala ! ça craint ! Oui, velu ! Grave !
Passant par yaka faucon ça va le faire,
ne t'inquiète pas, je je le toupwite.


Et puis sinon, tu sais ce que l'on fait quand il n'y a plus rien à faire :
on prie.

De ce que tu vois du Monde, du nôtre,
nous crois-tu plus intelligents que ces peuples qui vécurent en système clos ?
Comme nous. L'échelle n'est pas la même puisqu'elle est planétaire.
Comme Eux.






Auprès de mon axe...- je vivais heureux -

"J'aurais jamais du le quitter des yeux..."
 Petite parenthèse qui n'en est pas une.
Je suis là
Clin d'oeil aux distances de nos miroirs enlacés
Je suis lichens je suis la mer aux entrelacs du ciel
Je suis la feuille aux promenades du vent
Je suis l'herbe que tu caresses aux aubes en rosées
Je suis l'oiseau nos ailes ne se touchent pas

Je suis lichens et je te suis aux milles ports
J'ai besoin de ta terre
J'ai besoin de ton sol en toutes notes

oh ma douce aimée
trempe encore pour toi mon coeur
tes mains en mon ciel
tes mains tes ongles ton désir en mon en vie
touche ces profondeurs toutes terres où tu t'enracines en tes pas non vains
tes pas où nul poison
ne viendra dérêver mon Amour de Toi

04/2010
Sol d'origine effacé

Qu'ai-je emporté depuis ces mots offerts à ton entendement ?
Croyais-tu que je copiais-collais ces mots pour toi à tous à tout va ?
Soudainement riche porteur d'un texte qui ne me semblaient plus rien ?

vendredi 27 janvier 2012

Cinéma rotatif

Passé, futur...
Je là et je ne vois pas cet au-delà
Improbable à vérifier, pour qui pourquoi
Tangente enroulée enroulante
envoutante

Couronne d'épineux silences furtifs
alliances floues des mots aux groupes des Terres
Demies teintes au verre des Anges

Un des aspects des cultures humaines, c'est qu'elles se sont souvent construites à l'aide de la représentation plane, en deux dimensions, hauteur largeur.

Cette façon de faire rend possible quelques répétitions,
que va modifier l'arrivée de l'ordinateur.
Si la probabilité du voyage s'applique dans les trois dimensions,
les choses peuvent devenir rapidement très complexes.
Dans la réalité, ce qui semble ici identique,
ne l'est évidement pas.


jeudi 26 janvier 2012

Le retour de Cléopâtre


Etre ici et là-bas
Une chaussure d'ailleurs, une autre là.
Quel est ce pas qui n'en est pas un de plus ?
Alors qu'ainsi même, tout se redessine.
Milieu en mouvement.



C'est une immense ramure
L'arbre de ton savoir
Tu t'y tiens tu n'as que cela,
pour voir le monde, y être chez toi.

C'est important de le savoir.
Intimement.

L'immensité d'un homme
d'un Autre
comme Toi
puis d'un Autre puis...





Bancs de poissons, nuages d'oiseaux
Leurs vols se passent de maîtres
Banc de poissons, nuage d'oiseaux
Disséminés ou promptement regroupés
Petits poissons petits oiseaux
IlL savent si bien
l'alliance de leurs libertés 



Tu  te souviens ?
C'est encore dans
http://wizzz.telerama.fr/Pixelbleu

Perso, j'suis dans un bocal toc toc !
Il y a bien la page des commentaires pour me parler :
j'y règne en maître, sLv. Tu n'as qu'à aller voir.
Pas besoin de censure.

Faut dire qu'après qu'ils m'aient enlevé la tite pomme dans mon crâne, j'étais secoué pour quelques mois. Puis ces chimios où je ne trouvais même plus la force d'écrire...
Alors ce que je voyais comme un enfer, voir les Autres sans pouvoir leurs mettre des coms, même en les regardant beaucoup moins, je commence à m'y habituer.
Je patine dans le bocal, comme ça, ah ! ça ira ça ira !

Faut dire aussi que j'écris ailleurs et que je poste ici avec parfois plusieurs notes d'avance, au jour le jour, un peu déconnecté du temps de ces lieux du Wizzz.
Je m'en détache de plus en plus, forcément.
Sans discussion, quel intérêt ?
Quelles vibrations ?

Un cerveau, c'est plastique :
si tu en enlèves un tit bout,
ça se reconstruit autour,
nouveaux circuits .
Y parait.

Tout cela pour dire quoi ?
C'est une bonne question
je te remercie de me l'avoir posée.



mardi 24 janvier 2012

~y !

Un jour, je suis monté très haut.
Pour expliquer que parfois, tu te retires du monde commun pour aller en solitaire.
Parce que les réponses des autres, c'est pas qu'elles ne sont pas valables, je voulais juste les comprendre.
Je suis monté si haut que j'ai vu le Monolithe ! C'était quelque chose d'incroyable pour moi et pourtant !
Il était là.

Je n'étais pas seul.
Des Esprits étaient présents.
Certains très anciens, profonds de Nuit
Ils voyaient de si loin et nous étions là, à vivre cet instant.


Si j'étais troublé ?
J'avais la lucidité des rêves en cartes pour le réel.
C'était comme si plus rien n'existait que cet instant fabuleux.
Puis, comme cela se passait sur Google Sky, j'ai vu une étoile de David dans mon ciel à moi.
Pfff, kétaf, kétaf...
J'y ai mis ma bonne pomme aussi, puis je l'ai envoyée au 404 no found
Ca fait un trou que plus personne ne peut voir.
Comme ça, on est tranquille.
Si ça c'est pas du profond !

Quelque soit le drapeau que les hommes mettront,
ce sera à côté de ce trou.
Hugh !

Après, j'ai encore travaillé sur Ipernity, puis, ne voulant me résoudre à me faire censurer mes blogs, je suis parti rejoindre le wizzz, là où, comme qui pourrait dirait dire, tout avait commencé.

Ma clairvoyance, celle dont parle Rûmî, n'est pas venue que de là.
Elle est aussi venue des connaissances qui l'ont précédée. Je pense particulièrement à Jankélévitch, dont le "Je ne sais quoi et le presque rien." m'avait envoyé dans un univers, certes grand, mais où la présentation des connaissances elles-mêmes ne  devenaient plus en quelque sorte, que de la matière à communication. Ne restait plus qu'à choisir le milieu où l'exercer.
La clairvoyance, c'est voir de l'eau couler d'un robinet, se dire qu'elle vient de dire bonjour à la Lune et que les probabilités en soient très grandes.
Puis, qu'elle y retourne avec la mémoire de ton usage.
C'est pour ça que l'eau est Sacrée.
Qu'elle peut aussi être lue.

Raz le wizzz

Quelle dureté dans ce coeur 

C'est une plaque de tôle qui se martèle encore et encore

Culbuto li, culbuto là
comme une scie
comme un bouclier
Et les bords restent plus plats parce que quand même,
c'est au bord.

Tu regardes tes traces et c'est la vie que tu vois
Pas n'importe laquelle :
la tienne

Parce que qui d'autre irait la visiter ?
Tes enfants ?

C'est une roue un engrenaage
aux bords liés
ca brisse grip e dans le ciel aux temps puissants du Maître

quand Tout s'arrête
de Toute Eternité

Crois-tu que je fasse le mariole ?


Tu regardes tes traces et c'est la vie que tu vois
Pas n'importe laquelle :
la tienne

Elle se posait là
puis là puis là là là là
un jour ici, un jour là-bas
et Tu avais fait Ton jardin
celui des commentaires
pas le mien ben tien
!






sLv


Pour des hommes, j'ai fait ça
pour moi aussi, c'est sûr.
C'est une croix composée de deux axes
issus de cette sorte d'attracteur étrange spirale
Un trait d'axe est une chose abstraite
Alors le point de rencontre de 2 axes n'est d'aucune matière

La croix reprend alors la transfiguration ronde chère à Pahaña
La Bouchée de l'Aigle
Le Disque Solaire
tant d'histoires !


Si tu le représentes au mieux,
c'est un pixel qui peut être bleu.
Ou vert !

Alors en tant que peintre, la photographie de la sculpture me suffit bien.
D'ailleurs, je ne sais même pas si la sculpture existe encore
Poussières envolées aux grands voyages
et peut-être, ci ou là,
comme d'ivres feux follets
des résurgences en formes de voiles.

Ma bibliothèque à moi

Dont il fallut que je fasse le deuil
ehhh béééééé ! c'était bien la peine !
Que je braille comme un âne sous la torture !
Le petit âne gris des jours sans fortune
Que l'on finirait presque
par la prendre pour la vie
de tous les jours





Je m'appelais Pahaña


Pahaña

C'est Valserine qui a posé le tilde ~ sur le n.
Dans ma recherche, il était sur le a.
C'est elle qui avait raison.

Comme un passage du a vers le a.
Un nom en construction.
Parce que rien n'est jamais acquis
Parce que si le temps semble s'arrêter
C'est pour mieux te relancer mon enfant

Ou pas.


!
Coeur oh mon coeur !
Aujourd'hui baigné de Soleil !
Grave ! Grave !
Grave ces instants
Paillettes liées une à une
Crois-tu ce radeau pour demain ?
Frêle esquif de tes mains
Où poser tes jours



?

http://u1.ipernity.com/8/39/54/4213954.a3e69b4d.100.jpg
Fulon 
http://u1.ipernity.com/8/39/56/4213956.d2d82abc.560.jpg  
Hopi tablet

Tablette rongo-rongo

lundi 23 janvier 2012

Ho ! Hisse la saucisse !

Regarde, encore une planche.
Verticale avec mon encre qui y coule.
sLv

Avant du monde des mots, j'étais du monde des peintures.
Des icônes, images, et touti quanti
J'me marrais bien, Marey, hein ?
entre repos et mouvement.
Entre silences et bruits.
Bruits de la vie,
bruits du travail, des amis...
Qui m'élevaient aux couleurs des toiles,
dans le calme des redépositions  positionnées.
Peindre, c'est aussi une offrande au Temps non vain
Empêcherais-tu une fleur d'offrir ses pétales ?
Elle t'appartient de ton chemin
T'y croyais-tu seule ?

Tuiles alsaciennes

Chatira le Barbare

Elles sont rares les rencontres d'un Amour à l'Autre
Je t'apporte un battement de cil
De loin je t'ai vu arriver
Tu portais Lumière
En milieu des Lumières

Je rouspétais comme un diable en censure
Encensé comme il se doit entre gens d'honneurs nerfs
A fleurs de peaux c'était pas de pot ri ri ri ri mon général a sifflé

Ca m'a fait drôle dans le cornichon, si j'ose m'exprimer ainsi.
J'étais vert, impair-e pidoupasse à passes sur la blanquise
Touti miaou,
Signé :
Le chat clouté.

Mais !
Ils m'ont castré !
Pour me faire chanter plus fort
j'imagine
Rêve
Je suis ici
Je suis là-bas au bord des corps morts des cormorans
" Où sont nos corps sont nos pays ! "
Où vas-tu poser tes pas
Je ne suis pas de bois
Puis-je te faire confiance ?
Quelle flamme portes-tu pour demain ?
Quelle eau ? 
Celle de la sagesse ?

Et Toi , qu'as-tu compris à l'école ?

Et Toi , qu'as-tu compris à l'école ?

A cette grande voute tissée autour de Toi ?

Quel inconnu en as-tu gardé ?

Un derviche s'est mit devant Toi
Il s'est incliné devant ton Trésor
Puis il s'est mit à parler
C'était un homme comme un Autre
Désormais prisonnier et gardien
des mailles de Ton silence
Que pouvait-il t'offrir ?
tu avais tout
&
tu le gardais
jaolousement

Pov'Yunus

Qui regardait la vie avancer ivre d'Amour
et le Temps qui s'arrêtait là
coquille d'éphémère

Je suis pour le bleu de l'Europe
et dans ce pour pour pour
comment fraternellement
être pour le vert vert vert
des Islamistes c'est alarme Miss
A gauche !
A droite !
A que Je !

Si tu as la solution, j'suis preneur
merci de passer devant
Merci
de ne plus voter
pour moi

en traces de vos propres pas



1/2 Coquille réalisée au vinaigre
puis délicatement posée
sur un miroir-ndr


tourne tourne
Quel est ce feu ?
Radio-thérapie
ils m'ont dit que j'allais bruler
effets secondaires qu'il a dit
dans les tubulures

je n'ai pas demandé pour les mailles

T'imagines comme je grave des planches,
qui deviennent des planches
à faire carlingue
c'est dingue

ou cocon
à passer le mur du çon
en fréquence double
les rayons ne sont pas les mêmes
c'est quasiment Kubrick
 et stochastique cette histoire-là.

ah ! Vieillir !
Partir, cela n'est rien.
C'est une chanson
Mais vieillir

Transmuter
cette beauté de peau
en beauté des mots
et moi aussi
enchanté,
madame,
de vous avoir si bien connue


Je mets cette image là parce que je ne retrouve plus la pomme qui fermente dans le bocal fermé.

Il lui aurait fallu les tubes à mails, les poignées de mains, rassurantes matières.

Toutes ces ombres aux anonymats démocratiques

j'm'appelle Eric









On a toujours le choix

On a toujours le choix
Une pie est venue ce matin
Elle est passée à côté de mon arbre
C'est pour ça que je dis ça
Elle était yin et yang
50/50, pardi !



Mise au point bulbesque :
 Il faut que je t'explique
Mon arbre est en son hiver
il n'a plus de feuilles.

Le ciel clair équilibre ses ramures
en éclatement coloré black ou white

c'est la pie qui pèse et dit redit
la couleur à l'ensemble

blanche ou
noire



Dans quelle couleur as-tu laissé partir ton coeur ?
Qu'as-tu cru oublier pour qu'aujourd'hui te brûle en Maître ?
T'embrasse jusqu'au fond des origines perdues.

Etais-tu dans l'Esprit des destinées d'Or
Le portant en toi
comme l'on porte son sang ?

Ou frappait-il
Un coup à droite
Un coup à gauche ?
Gravité des sarabandes
mélanges improbables.










dimanche 22 janvier 2012

et toi ? Qu'as-tu appris à l'école ?

Qu'as-tu appris à l'école, mon fils A l'école aujourd'hui ?

Ca me file un p'tit air dans la tête cette chanson, merci monsieur.

Merci aussi de me l'avoir dit. Ou plutôt redit Redon, disons le tout net.

Cyclope à dominer le monde, machicoulant sa force cérébrale

Que lui seul demeure !

Que feras-tu quand les regards du monde qui te sont obligés,

te quitteront pour d'autres yeux ?

Que ta masse

solitaire


Qu'as-tu appris à l'école, mon fils A l'école aujourd'hui ?

Les deux pies ont pris la place du corbeau
au fond du milieu de mon arbre de chez moi

On a toujours le choix,
On a toujours le choix
chantent-elles

En viendra-t-il une troisième ?
 




 Exposition à Strasbourg

 Ophtalmotrope de Ruete
premier quart du XXème Siècle.



samedi 21 janvier 2012

Quoi ! un soleil qui s'éteint

et y'a personne qui répond ?

Faudrait que j'aille voir tu me diras

Quoi ! c'est encore moi que l'on appelle ?

T'es baptisé à la grande source des grands pourtant

tu peux sortir de l'eau des larmes



Héliotrope, héliotrope... Est-ce que j'ai une tête d'héliotrope ?



Quand j'ai rencontré cet homme.

Et c'est rare que je fasse cela.
Je ne sais plus si c'est mon Amie qui a pris la photo.
Je lui ai dit merci.
Plus tard, je lui ai fait parvenir une aquarelle.
J'espère que je n'ai pas trop balbutié avec toutes mes couleurs.


Peinture informatique, ~ même période



Et j'appris à modéliser.

ah ! Que de souvenirs en ces parages où l'or était facile d'un cil
sauf qu'il fallut le couper, un bout par ci un bout par là, t'en veux deux ?
Gourmande va.
bzzz
 cool du miel...

- Dis, y serait pas un peu flashi envahissant ton jaune pirate ?








Puis, un jour, il y eut Pierre Paul Clarke

Puis, un jour, il y eut Pierre Paul Clarke

Il me permit de créer, je dis créer comme ça, pour employer des mots que tu aimes bien,
Une des plus grandes machines du monde.

Ben ouais, rien que ça.

Tu ne me crois pas ? Regarde, c'est dans les soutes de Boat :

Je n'en reviens pas...


 

Comme elle est en absence de tag'coms
C'est une image
Qui reste 
de 
toute
beauté
sLv





Fine à l'âme de Pixel bleu
Pahaña


C'est scrite dans le Monolithe, ndr.

Avec un murmure d'Amour
Venu de Valserine
Puis de Toi
Puis



La pie

Il y avait beaucoup d'agitation dans mon arbre de chez moi ce matin.

L'image s'est calmée avec le corbeau noir dans les branches noires ciel clair

Puis la pie est revenue au bord des frondaisons nues

"Nous avons toujours le choix"
disait-elle.

Puis, vint la deuxième.
2 x 2

Le corbeau était toujours là


Strasbourg, oeuvre d'art + caméra de surveillance.

vendredi 20 janvier 2012

Petit rappel historique


Sais-tu qu'il y eut le Christ ?
Il est mort pour nous sur la croix
Comme ça, on a plus besoin d'y penser.
La souffrance nous façonne comme elle en a façonné d'autres.
Le savoir est une Paix
C'était, je crois, Son message.

Puis il y eut un homme un Prophète.
Il apporta le Livre
Il fut dit qu'il n'y en aurait pas d'Autre
Tu as de la chance de savoir lire à cette Lumière


Et puis me voilà
touti Pixel bleu nuit
tout petit tit
pas là
pas là là
entre carbone
et original patenté d'ici la moulinette
rooo tu l'as vu passer toi ? ça défriche dans la step e

Joker !

J'ai souvent eut du mal à parler de la vie, de la mort, de tout ce bazar.

Aujourd'hui, j'ai un joker : j'ai le cancer.

Alors cause toujours, on verra si ça m'intéresse les tresses.

J'ai tout mon temps mi, sLv

Tu as de la chance d'être vivante.

Le turban

L'amour est soleil


O amis, entendez-moi ;
l'amour est pareil au soleil

et le coeur sans amour
est semblable à une pierre noire. Que peut pousser d'un coeur de pierre ?
Celui qui le porte n'a sur la langue que venin,
et ses paroles, même les plus douces,
sont violentes comme la guerre. Le coeur riche d'amour est ardent
et devient tendre comme le cierge ;
les coeurs de pierre sont comme l'hiver :
hiver noir, hiver dur comme la glace. A la porte de notre Roi,
au service de notre Seigneur,
les étoiles des amoureux
sont pareilles aux sentinelles.

Yunus, renonce à toutes préoccupations,
à tous les soucis de ce monde.
L'homme doit pouvoir d'abord s'emplir d'amour :
après quoi, il pourra se dire derviche.

Yunus Emre.

Que peut pousser d'un coeur de pierre ?

J'ai dans le coeur une perle noire comme de la Nuit

Qu'est-ce qu'un amour qui ne s'exprime ?
Ne se porte-t-il pas de portes en portes
De silences en mouvements de bruits


Mon turban me prend tout le jour

Passons...


Passons... 

jeudi 19 janvier 2012

"Sacré Gigi"

"tu frère encore"

Souviens-toi comme parfois je venais écouter tes histoires à me faire bailler de sourires.
Tes soirées au coin du feu que tu avais allumé de ton regard bienveillant
Et puis ce cil qui auréolait ton univers ton regard
C'était tout un village qui s'éclairait.
7500 step mi:lle cinq cent
+ ou moins qq uns
c'est ce qui se wizzz par ici
c'est plus ou - skidikiki dans le coin du coak t'es encore là ?
Ben chapeau M'dame, ce réverbère vous va à ravir dans la plaine d'ombres
Votre bras dans cette nuit
Cette nuit où tous ensemble enfin devant le Mystère
-heuuu, tu n'en fais pas un peu trop là ?
-J'm'appelle Gigi, pas Géronimo...
rooo, pourtant, à ta place,
qu'est-ce que j'aurais,
pu faire de mieux ?

Regarde un peu
Tous ces témoignages
autour de toi ton blog à toit
de gauche ou de droite
sont arrivés

oui. je te laisse partir.
sLv

oui, je sais que tu sais que j'ai de nouveaux voisins...

Non mais tu me vois descendre l'étage
avec mes 100% à l'échelle de Karnofsky ?

Strasbourg, c'est l'éther.
C'est comme ça.
La terre y est
molle
douce
meuble
alors l'Esprit
S'envole





Si tu regardes le centre du bas
punctum
que les échelles s'immobilisent
vers l'autre sens
alors un souffle passe
qui vous décoiffe madame
m'en voilà tout
sirène
é'clc

Ben ouais, la Marquise, elle est déjà prise.
Alors que Sirène
c'est une voix entre tout et rien
c'est un appel à la nuit des songes réunis

- Un peu bruyante, ton image...
ah ? tu crois ?
- on dirait un tam-tam...




C'est fragile, une plume.

rien n'est jamais acquis,

Regarde dans la barre d'adresse, le petit favicon qui dit plume.
Une plume de + me diras-tu

Etre ou ne pas être

Regarde ! c'est à gauche qu'il nous faut !
Et le temps se fait calme rosée des vents oh ! vivifiante clarté !


AVERTISSEMENT
Ce blog s'adresse à un public averti & grand majeur

C'est mieux de prévenir que du gros temps peut être à venir,
j'suis pas devin, pardi.

Ursula Andress ?
J'ai oublié

Par contre,
je me souviens
de ciels en respiration
de ces instants uniques
donnés en tuniques
aux taille-haut !
taille-haut !


Planquez les vierges et les bonbons rouges !
Ca va gicler !

Et c'est la toile qui se teinte mille mailles qui taillent
la route de leur sang du bout des doigts clic'
 Sauf où je suis, ça va de soi.

 "Un fou, c'est quelqu'un qui a tout perdu, sauf sa raison."

 Tu te rends compte ? je suis tombé là-dessus. Ca m'arrive à moi. Comme ça, paf, Comme tombé du ciel en plein dans mon questionnement sur le temps, la vie, la mort, mes petits soucis et mon cancer.Ouais, oké, je dis le mien comme ça, par habitude de langage. On dit aussi "mes enfants" alors que l'on sait qu'ils ne nous appartiennent absolument pas et que c'est pour cela qu'il faut faire très attention pour les protéger au mieux et en âme et conscience.

 ah ! dans quel milieu vivons-nous ma bonne dame monsieur
- le même que le nôtre
 N'avons-nous pas vu passer les ans, feuillets de rêves jetés aux vents en doux chantés ?
 Voudrais-tu que je te raconte un peu de mon chemin ?
Quelle importance n'est-ce pas ?










mercredi 18 janvier 2012

Et moi, je suis vivant.


Et moi, je suis vivant.
Ben ouais.
Histoire de te résumer ce truc bizarre,
vous avez dit "blizzard" ?
Et même que je suis un artiste.
Du moins je l'étais, rien n'est jamais acquis,
DIEU DONNE DIEU REPREND
brrr
Ca fiche les jetons, moi j't'el dis.
Les miroirs qui se brisent

Et se résonnent anémones de Lumières 
ou chemins de Nuit






mardi 17 janvier 2012

hé ! Gigi ti'clic !

Gigi,
où tu vis
dans mon coeur
comme je vis le mien
en cette Lumière du fond du tien
Tu te disais croyant et je te croyais croix de bois
si je mens
J'vais en enfer


Madame,
c'est une grande chance pour nous que vous ayez pu prévenir du décès de notre compagnon de route sur cette toile.
Il en est tant et tant qui partent sans un mot, sans une explication, ou si peu, qu'à regarder derrière nos chemins ici parcourus, filent tant d'ombres comme autant d'immenses incertitudes.
Ils avaient tant à dire.
Il se disait croyant.
Aujourd'hui encore, je prie à sa Paix.


"le livre du dehors"

" le livre du dehors "

Je le mets entre guillimets, c'est une référence, un hommage à un de mes Maîtres.
Un de mes plus Grands Maîtres :
Rûmî

Son nom est une Etoile sans pareil dans mon Ciel à moi.
Un peu plus loin, Yunus.
Yunus.
Dont le foie avait connu la viande grillée;près de Son Amour



La solitude crée des monstres.
Elle crée des 
craies.
Qui se répètent,
et se la pètent.
Soudainement dzans
une sorte de cage blanche pure.

ho ! la bourrique !
Où cours-tu de si bon aloi ?

Que je t'explique :
goubi goulba !
kapiche ?


Donc, il faut que je sorte de chez moi.
C'est de bon sens,
me diras-tu.

~y !

d'où ce titre :
Le livre du dehors














dimanche 15 janvier 2012

Façonne vic'time


Oui merci, je sais, c'est beau c'est très beau trop beau.
Même pour les miros veaux qui le valent bien.

Je te salue

Je te dis "au revoir"
Parce qu'il est des tribus desquelles je fais partie,
chez qui "adieu" n'existe pas

 Ma main danse comme Eux
oh Grand Manitou !

Veille à Nous

Même ce simple point.



jeudi 12 janvier 2012

Armes à droites

Je suis ici je suis là-bas
pensé ici ou là pas là pas là là
Des mouvements où rien ne heurte
rien n'arrête de poissons des illusions d'ions
comme mille lumières noir océan que rien ne guide


d'artiste évoluant grâce aux blogs sur les nouveaux territoires culturels apportés par internet.

La danse.
La danse et la peinture.
Le poids de l'une, le poids de l'autre.


Comment parler d'art sans considérer ses lieux d'expressions ?
Ma scrite'capsule,
bocal,
blog.
Partie de Boat, de l'e~Livre.
C'est comme un déplacement en apesanteur, où plus rien ne se porterait capable d'en modifier la direction, aucune gravité, aucune friction.
Aucun commentaire.
Oke, j'exagère.
Un peu.
Vois-tu comme je te représente ?
Toi et tes voies grâce aux armes que rien n'arrête.
Comme mille lumières océan noir que rien d'autre ne guide

dimanche 8 janvier 2012

A Giacometti

J'ai lu que Alberto Giacometti, ne croyant plus à la communication, passa des formes surréalistes à ses personnages les plus fins que le bronze permettait.
Et puis un jour, reculant devant une de ses peintures, le visage de son frère Diego me sembla soudainement prendre vie.
Je venais de me prendre intimement, profondément, la notion de distance du regard par rapport à l'oeuvre.
Qu'avais-je vu jusqu'à ce présent ?


vendredi 6 janvier 2012

Linéarité

J'ai passé beaucoup de temps avec les livres. Moins ces dernières années : un peu comme une collection de disques dépassée par la technologie. J'ai tellement à en dire que c'est comme un feu d'artifices à n'en savoir quelle luminosité suivre pour ici la réinscrire. D'un gonflement de poitrine n'en avoir soudainement plus rien à exprimer, souffle sur lui-même effondré.

Page en phase d'écriture.ndr-§°°°
sLv

Si j'imagine les livres que j'ai lu et qu'ils se trouvent tous en cette photo, c'est un chemin en 3 dimensions qui se dessine.
plic plic plic
Si je veux être plus complet, j'ajoute internet, comme un voile autour de la terre, auquel j'ajoute ce que j'ai moi-même écrit, ajouté, poèmes, textes, ivresses, peintures, poussières de couleurs...
plic plic plic
Moins ce que la censure a enlevé : 
tchac bzzz rybon lazer dégomo hache !

18 blogs
des centaines de notes.
des milliers de coms sur d'autres blogs

e~Livre

Les mots sont un appel pour le voyageur.
Ils l'aident à se situer, à prendre connaissance de sa réalité par l'apport d'autres réalités.

L'esclave ne sait que suivre ses maîtres. Il joue dans le gras du troupeau, halluciné au veau d'or dans lequel il se reflète aux cieux et  braille comme un âne.
 Un fasciste avance grâce à sa force.
Des égarés

jeudi 5 janvier 2012

Page blanche.
Le ciel est gris.
Si j'imagine l'horizon, la terre s'y noie saturation que rien ne rompt.
Ici, quelques maisons, quelques arbres quelques feuilles que dandine le vent.
Page blanche.
Je l'imagine, elle se déroule jusqu'au soir d'aujourd'hui.
Qu'aurais-je fait si je n'écris rien ?
Derviche typo matamore
je regarde la feuille
je regarde dehors
je regarde la feuille
je regarde dehors
je regarde la feuille
mon chat
à la fenêtre

mercredi 4 janvier 2012

Des mots comme une poutre, phrase tout comme un mat.
Sur l'océan noir il y a je crois des êtres,
ils posent des voiles de vain.

M'éloignant de cette foule,
j'y ai perdu l'éclat de tes yeux.
Houle visqueuse ressacs des cris
j'ai la nausée de vos haines étalées
pataugeant à qui mieux mieux
Champagne !

lundi 2 janvier 2012

Regarde je tombe !
Je percute la maille
qui de taille répercute.
C'est une peau tendue soft
Ne te laisse pas prendre par sa douceur
elle t'emmènerait trompeuses vibrations que tu ne pourrais suivre
par ce qu ' elles te font peur


C'est avec Pixel~Ange qu'eut lieu une première fois
le saut de l'ange reconnaissant, pour vous servir monseigneur.
clic clac c'est dans la boite ?
Boum boum boum
suivirent les 3 ricochets Dan l'O

en écho : Radio~Kéké, la radio méga-libéro,
son petit musée de Pech-merL
"pour que vos enfants sachent qui vous étiez"
Sans oublier "Atelier provisoire qui dure, virgule,
blogs pulvérisés par la censure depuis... pfff...
Si je ne suivais pas Ta Lumière, où irais-je ?
Si je ne suivais pas Ta Musique, où irais-je ?
Comment réinventer ce jardin offert ici et maintenant ?


Si vous n'êtes pas capables d'installer une micro démocratie sur le wizzz, ce serait bien de retourner à l'école apprendre ce que vous aviez appris depuis
Comme une pièce de théâtre qui t'irait comme un gant
Avec des avatars qui auraient soudainement un rôle
autre que : "j'ai beau sourire dans la galerie,
merci petit Jésus."
Je suis ici je suis là-bas
pensé ici ou là pas là pas là là
Des mouvements où rien ne heurte
rien n'arrête de poissons des illusions d'ions
comme mille lumières noir océan que rien ne guide
Bouteille à la mer !
Attention, ce n'est pas une bouée typo bloup
ni une bouteille de plongée durée 10 secondes env.

encore que...
Lanière de lumière cri de mon Amour
Je me plonge prolonge de ce pouvoir d'ivre fou
parce que fou je ne suis et pourquoi le serais-je ?
En perdant mon passé écrit ou que sais-je encore
Que j'ai aimé au mieux ceux que je rencontrais ?
Que que je les ais laissés blessés & libres ?
Que que que je suis devenu un monstre
Merci de ne plus voter pour moi
Votre hauteur de trique
est parfaite
§


 Bon alors : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18...

dimanche 1 janvier 2012

" IlL voyageaient par monts et par mots " Et puis

" IlL voyageaient par monts et par mots "

Et puis c'était mon tour.
Un chemin s'était bloqué de leur présence.
oh ! mon ciel !
Qu'es-tu devenu ?
Quelle est cette nuit qui coule sur ma parole ?
La parole du cancer ascendant cancer
Une nuit sans mot du cancéreux
du champ c'est ici mi
.
Illuminé
ma chérie
.
Allumant allumé aimer
Que reste-t-il de nos amours ?
Ce que tu as fait ce qu'il en reste à chérir
Aux règnes du buzzzAAAmourss a lot off bézetz
Alors chers visiteurs nous voici comme qui dirait sous le St graal d'Enric°
Découvert par lui-même il y a tout de même plusieurs années, c'est un exemple typiquement typique d'une beuverie sans foi ni loi sens ce nectar noir de tes respirations fumantes rouges d'yeux pupilles in the blackwhite & chardons de Nancy

Une pierre noire

Mots paravents, étincelles de ma vie.
T'ais-je choisi ? Pas là, pas là, là.

Paysages paysage,
dans quel fil suis-je donc parti ? 

Etais-tu de ce bleu du ciel,
gourmand des souvenirs
où ronronnait ton chagrin.

Etais-tu parfum d'Amour,
rendu léger savon
brillant comme une lame.

Etais-tu ce signe là,
posé à la masse d'une pierre,
dépôt d'oubli encoche à ton chemin