jeudi 29 décembre 2011
oh mes maîtres !
lundi 26 décembre 2011
Un mot
vendredi 23 décembre 2011
J'ai étendu
samedi 17 décembre 2011
Les mots c'est rien,
jeudi 15 décembre 2011
Une nuit
Plus proche aussi. Elle s'infiltre, là, s'invite,
me pénètre, étendues infinies, vagues.
Je lève un bras, une main, un geste
offrande de mon temps d'ici
qu'il soit profondeur
léger passage.
Je suis le fils de cette Nuit
traverse le temps passe Cassiopée
plus loin laisse le big bang, là, ou là.
L'embrasse d'infini encore encore !
Aujourd'hui convaincu, demain
d'autre chose à croire
Qui peut juger?
http://sousetoiles.
blogspot.com
mercredi 14 décembre 2011
Forme, non-forme
J'aime bien citer les gens qui m'ont accompagnés, ceux qui m'ont permis d'être ce que je suis devenu, m'ont rendu capable de faire ce que je fais aujourd'hui.
Je pourrais aussi citer ce galeriste, un des premiers rencontré, à qui je présentais mon travail. Quand il m'a demandé s'il était figuratif ou abstrait, j'ai répondu comme d'habitude : " plutôt abstrait". T'imagines bien qu'autrement, il allait m'incomber de lui montrer le palmier, l'hippocampe ou que sais-je encore ! Pour moi, cette question de regard avait déjà son sens, sa force de donner à voir sa propre capacité imaginative.
J'ai toujours trouvé que la figuration épuisait dans le temps. Mes peintures se régénèrent sans cesse, comme le passage des nuages. Du moins je l'espère et m'y emploie. Ceux qui prennent le temps du regard le comprennent très souvent.
J'étais libre.
Pas lui.
Petit calcul
Libérer le geste passait d'abord par libérer l'esprit qui la guide.
Et puis le travail. Peindre une toile disait l'ami Kacki, ok,
mais en peindre mille...
lundi 12 décembre 2011
Toit du monde
qui se tape la tête contre rien
là où je résonne de ne pouvoir dire
les fulgurances du sans sommeil
retour aigu en passation
d'une régulation
pieuse
oh Seigneur, Te parler serait Te dévoiler,
m'interposer, Te représenter
Mon égo en avant, comme si je n'étais pas celui-ci, ou,
voir ces traces qui seraient pas de moi, miroir passé.
dans la venue d'un vide qui se comble.
Un post'it " le toit du monde" en clin d'oeil à Piero Manzoni, 1933-63.
Evidement que ce n'est pas grand chose.
C'est presque rien
Fallait le faire.
Perso, je trouvais ça drôle,
la Terre emballée, turlututu chapô pointu,
pas plus grosse qu'une pomme, si tu veux y regarder.
mercredi 7 décembre 2011
Petits peut-on
Peut-on empêcher un poète d'écrire,
un musicien de jouer un chanteur de chanter ?
Peut-on arrêter une fleur qui s'épanouit et contemple le ciel ?
Peut-on arrêter un homme qui marche au fond d'un puits parce qu'il a connu le Soleil
Peut-on empêcher un parfum de grandir jusqu'à n'être plus rien qu'une idée qui passait par là ?
ReV'la l'Martello, dis : "le touti polite" - posté le 13/03/2011 à 0h40 blog détruit
Simplement, après ces milliers de coms, ces centaines de notes arrachées au sol d'internet par ton grand pouvoir d'homo censurus, je ne doute aucunement de ta stupidité à m'effacer encore.
A m'effacer pour que tu puisses chanter ta liberté d'expression, tes valeurs démocratiques, ton sens du partage, ton amour du monde.
j'en passe : n'es-tu pas un spécialiste des droits de l'homme que tu imposes à tous ?
La vitesse d'une caravane se règle sur le dromadaire le plus lent. Avec toi, faut regarder le plus rapide et tant pis pour ceux qui crèvent sous ton joug : t'appelleras ça la sélection naturelle.
dimanche 4 décembre 2011
Un petit pas
C'est un petit pas, un pas de rien. J'avance dans la nuit, éclaire par
quelques mots, quelques images qui sont plutôt que rien, plutôt que mort
ici culture.
Je marche entre néant et cette apparence de vie, où subtil se charge d'intention en supplément d'âme.
Funambule des rives, j'avance aux frontières de mains naissantes
mes possibles vrais, ceux-là même que tu refuses de voir, élévations de
tes armes, poids de tes bottes, folle ta langue des vaines sécurités.
Border, 20 x 30cm, papier glacé sur papier photo
Quoi ?
Bien sûr que tu peux mettre des coms :
http://wizzz.telerama.fr/hermite/commentaires
Tu m'excuseras si je ne te réponds pas forcément directement : je tiens à la survie des quelques blogs qui sont en corps sur cette plateforme. L'expérience m'a appris qu'il ne sert à rien de discuter avec des nazis, c'est dangereux et pis c'est tout.
"La simplicité est la sophistication ultime." — Leonardo da Vinci (1452–1519)
Un regard que je partage. Je suis un paslapaslala. Comme toi. C'est juste que tu ne le sais pas encore.
C'était mi le plus petit.
C'est sûr, on aurait pu en discuter.
En 3 ans, on aurait pu discuter de beaucoup de choses.
Depuis le monolithe par exemple : http://wizzz.telerama.fr/Pixelbleu/blog/358432362
Tinter nos diapasons au seuil de la vérité en remplacement du cliquetis de tes armes greffées peau, maître de ton obscurantisme chronique et répétitif.
L'avancée par destructions.
Ces bords de toi.
Demains pliés.
kling !
klong !
t'chac !
Ta tête in guidon que troupô mouv'
vendredi 2 décembre 2011
Atelier numérique
Plus qu'une vitrine, les blogs devenaient participatifs d'une oeuvre que je voulais globale, disséminée et dans la continuité due à mon cheminement d'homme.
Début
Qui, semble-t-il, ne valait que pour lui.
Il faut que tu saches, ami lecteur, que ce blog est la continuité de :
http://wizzz.telerama.fr/hermite
Là-bas, je ne peux absolument plus parler comme je le désire : Télérama m'a déjà supprimé 17 blogs.
Soit plus de deux ans de travail.