mercredi 8 février 2012

Barbotus politicus


Ecrire, c'est facile.
Tu parles...
Je suis seul sans l'être, et puis,
il y a ces élections, aux seins des médias.
Cet esprit que j'écoute, articulé autour de sa pensée,
de son coeur, de son amour des hommes,
il se meut à leurs systèmes,
il croit aux possibles.
 Au partage.

J'y crois aussi.
oups !
Je fais à mon niveau.
Au jour le jour,
en cet écrin à mes pas.

Des hommes le suivent.
S'il était élu, qu'adviendrait-il ?
Claqué aux murs des pouvoirs de l'argent ?
S'il continuait la marche qu'il donne à voir aujourd'hui ?
Que penser d'hommes qui poussent aux guerres pour s'enrichir ?
Donne pas cher de sa peau moi.
Bref,
la politique,
subalterne distinguée,
ce n'est pas trop mon dada.
Quand je pense que nos pères
se sont battus pour des acquis sociaux,
que d'autres ventilent jours après jours,
trèèès raisonnablement intelligemment,
des kings ! Des icônes de grandeur,
héros civilisateurs, phares à On,
greffés aux vastes intérêts
de leurs fions.

ah ! le monde bouge !
On n'avait pas vu.
Heureusement que t'es là.
ah ! on ne peut pas faire autrement !
Faut s'y plier : tes visions pour nous :
que progresse by humanus,
la richesse tangible
de tes cercles,
de ta main.









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