dimanche 26 février 2012

waouu!

The prem's popul'art !

oh Coloranz ! zélé serviteur de

TELERAMA.FR

de sa tribu de la rédaction intellectuelle journalistique,
remplie de moralités & d'éthiques en exemples aux peuples,
possésseur de l'arme de destruction blogesque Wizzzesque !


"Ici on (se) modère"
Vous avez un souci, un problème ou une embrouille, on prend notre clé de modérateur n°3 et on revient vers vous ! Quand vous sortez de la Charte, on vous le dit aussi par un petit coup de sifflet.

Et maintenant, la Modération est assurée par la rédaction de Télérama.fr !
Youpie ! gage de qualité !

Définition du Wizzz :

"Wizzz, c'est une façon disons plus ludique pour dire with. Avec en francais. Avec parce que c'est un site communautaire où on est les uns avec les autres."
JPP le 03-2008, membre fondateur du Wizzz

Quelques phrases :
To be an artist... to be a photographer... you have to nuture the things most people discard. You have to keep them alive to tap them. Richard Avedon (?)

finallement, plus encore qu'un acte politique, une création est peut-être un acte de courage.
Nasser Martin-Gousset Danser



Alors pour ce qui est de la charte, je préviens de suite les vaches ici présente qu'il suffit amplement d'en lire la dernière ligne :
"Télérama peut suspendre un Wizzz à tout moment, sans mise en demeure"

C'est ballot :
c'est peut-être une des dernière fois où je peux parler sans être piétiné subito par les faschistes,
Le terme même vient du mot « fascio » (« faisceau ») désignant le rassemblement des fusils au repos ou l'attribut du licteur dans la Rome antique1. (wikipédia) Au sens large, le terme fascisme renvoit aux pouvoirs qui s'imposent par la force. Voir nazisme, puis la suite Shoah.
que j'ai un peu de temps, et je me sens très fatigué, sans envie. J'ai mal dormi, douloureusement, trop senti la maladie me ronger.
On a tous nos p'tits soucis, c'est sûr.
Dommage qu'il n'y ait pas un spécialiste, de l'acrobatie verbale par exemple, avec un peu de coeur, ou tout du moins, doté d'un peu de capacité de parole pour venir apporter un peu d'eau à ce qu'il se passe ici, pas ailleurs, qui verrait que ce qui se joue sur ce blog, cette plateforme est un problème MAJEUR de société.
Et je pèse mes mots.
La société, c'est vous.
Qui d'autre ?
1+1+1+...

ha ! toi, tu n'es pas acrobate DONC : tu n'es pas concerné(e) ?

Ton oeil de veau pirthékantropal,
pov'tache va.
Je dis cela sans trop d'émotion, manière d'être poli, trop peut-être, c'est juste un constat, que tu fais tache d'influence, par tes paroles, tes silences, tes actes, au sein de la communauté Wizzz, plus largement, participatifs de l'installation de l'outil internet et de sa façon, sa propagation, sa dissémination comme vecteur puissant de valeurs culturelles.
Forgées au jour le jour.
C'est une évidence, j'espère que tu en conviendras.

vendredi 24 février 2012

Comment se retrouver en dessous de tout.


Zen Eric,
zen
Retourne dans ton puits et dis leurs bien merci puisque qu'ils t'y tolèrent encore.
Tu as cru voir passer un signe ?
N'était-ce pas plutôt le mirage soufflé d'un rêve sans terre ?
Ils censurent l'écrivain,
le photographe,
le peintre,
le poète,
l'artiste,
le derviche,
314 le prophète,
l'homme...
croyais-tu vraiment qu'ils épargneraient le cancéreux dans sa dernière ligne droite ?

sLv

Aussi, quelle idée d'aller leurs écrire celà. Alàlàlàlà...



rooo... "si tu n'as pas une montre de mille salaires à 50 ans, c'est que tu as raté ta vie"...
"Une civilisation, elle peut être supérieure à une autre"...
ben ces gars là...
O
- A genoux for story, please -

Tu vois, ils viendraient maintenant personnellement me dire pardon,
je leurs dirais : ce n'est pas moi que tu as offensé le plus par tes propos,
évidement influencés par tes choix de vie auxquels ils se sont arrimés.
Ce sont nos pères qui se sont battus, parfois jusqu'à la mort,
pour le partage jusqu'aux plus pauvres, de la nourriture, de l'eau, de la culture.
Ce sont ces hommes qui furent esclaves jusqu'aux fers rouges des peaux.
Ce son...
Celui-ci semblait-il bambou là, que tu te mis à rire dans cette assemblée face aux yeux du monde ?
Et quand tu entendis cet homme, cet esprit, relié à l'histoire, ton histoire,
parler de ces pas qui conduisent aux génocides,
que l'on te vit, vierge pucelle, fuir avec ton troupeau, laissant parole hurler à ta vide présence,
quitter l'agora pour continuer ailleurs tes visqueuses opérations,
tes mots emmiéllant à vomir ta mise à mort
- avérée -
des ondes démocratiques
françaises.
Hugh !


Quand je dis personnellement, c'est à dire ici publiquement.
J'ai reçu suffisamment de générosités via les tubes à mails
Ces tubes à rats diplô-mastiks
où se joue Liberté
serrée.



jeudi 23 février 2012

Compression énergétique. 2008



mercredi 22 février 2012

du Wizzz & des mornes plaines



Avant, c'était le bon temps.
Le wizzz avait son trublion, sa tête,
son bouc émissaire, l'autre à détruire.
Ca faisait grandes occupations
chez les intellopoloches
de tous poils.
Globalement, le troupeau, très actif, me censurait à peu près partout avec la monotonie d'un paquet de bacilles armées.

Ca charpillait à tout va.

Néanmoins, j'en fertilisais beaucoup intellectuellement et des choses avançaient.
S'interrogeant sur leurs réalités proches, environnes mentales,
ils produisaient beaucoup plus qu'aujourd'hui.
Surtout en terme de qualité.
 "Spontanément"
Action ! Réaction !
Ché !!

La facilité technique de la censure, de l'anonymat,
 les entrainaient dans une grande fragilité.
Une fois utilisée, cette "force",
ce maître léger,
disait un vieil indien,
oh ! 01h06 !
dodo.
La suite une autre fois,
sLv





lundi 20 février 2012

Ce jour là,



 Ce jour là,
Phare-à-on inaugura ses nouvelles Terres et les appela : Wizzz.
Les forums qui se trouvaient sur les anciennes furent supprimés bruyant silence.
Il était chez lui,
 les utilisateurs qui y avaient inscrit des milliers d'heures de présence n'avaient qu'à se taire.
Ce qu'ils firent.
Se remirent à la tâche.
R'ahma ! R'ahma !

Tel est R'ahma !

Il sait le fer

Destruction_of_Leviathan - G. Doré.

Mais quelle est cette mer ?
Une Baltique ?
Nom d'un serpent à plumes !
T'as vu ça ? J'ai balancé un juron.


A 3, on est plus fort.
3, c'est déjà un collège.

N'oublie pas la foule des regardants : elle compte 1 que tu ne connais pas.

Le laisseras-tu s'exprimer ou ne vois-tu, n'acceptes-tu, que le bruit des ânes ?

Qu'espérais-tu d'un tel troupeau ?

D'une telle masse ?

Une direction ?

Un apport ?

Grandir ?



Toi ?











dimanche 19 février 2012

L'enfant flou


- C'est à cette heure-ci que tu rentres ?
-beubeul beubeubelbeubeul,
beul...

La mère retourne à son occupation, cuisine ?
L'enfant souffle,
et s'interroge :
Pourquoi ne rouspète-t-elle pas plus ? 
Rentrer si tard, par cette déjà nuit, et même pas une fessée ?
La chaleur de son visage redescend,
sa main en contact de bonbons dans sa poche.
Que s'était-il passé ce soir ?
Le cercle recommençait à tourner dans sa tête.
Il lui avait demandé s'il voulait des bonbons. - Oui
-Viens, ils sont chez moi - D'accord
En passant devant la cuisine, une femme, sa mère, face à l'évier,
 ne se retournera pas.
 Sa présence le rassura tout de même.

La chambre, volets fermés, faible lueur,
forte odeur, peu connue,
d'homme seul.
De mâle.

- Tu n'as pas trop chaud ? Enlève ton manteau.
- Et mes bonbons ?
- Attend un peu. Tu n'es pas pressé.
- Attend, on enlève ton pull ?
Ton pantalon ?
...
- J'ai froid, je veux mes bonbons, je veux partir.
oh ! attend, je te réchauffe.
L'homme lui frotte ses cuisses nues,
il souffle fort, l'enfant regarde partout,
ne sait où poser son regard,
pour que quelque chose repose, calme, s'arrête.
- Je veux partir.

Attouchements sexuels
Perte des repères

-je veux partir,
ce sont des larmes qui pointent.

Rhabillé, bonbonné,
l'enfant sort dans le tard noir.
Se demande quelles excuses pour sa mère,
ne comprend pas ce qu'il s'est passé,
cette "honte" qui l'habite,
ses bonbons.
&
 La mère retourne à son occupation.
Il est sauvé,
pour lui, rien n'est réglé.
Ne pas parler,
ne rien dire,
essaye de se satisfaire, retiré dans sa chambre,
manger un bonbon.

Un masque rouge se tisse sur sa face, roule, s'étend, s'incruste.
Dans sa poitrine, son ventre,
des choses courent,
semblent pointer,
constellation,
repartent.
Reviennent.

Aller manger.
Répit.

Entre oubli et torture,
la vie de l'enfant va reprendre,
des semaines à chercher sa voie.
Des schémas pour sa vie.
Son masque miroir,
&
les autres.


Je sépare cette note ici.



Repose toi un peu.
Ca ferait trop pour ton bulbe en une seule fois.


C'est une grande liberté de parler comme je le fais.
Ce n'est plus un besoin.
Je peux le faire,
je te le prouve,
cette histoire m'est d'une relative indifférence,
tu n'es absolument pas obligé(e) de faire pareil.
Je suis un derviche typo matamore.zorg ,
c'est un métier, je suis un artiste.

Alors c'est différent.


C'est un prétexte à te parler.
Comme un peintre choisirait un motif,
un visage, un paysage.
Une image dans la multitude,
celle de la grande famille des humains,
de la sociabilité acquise au fil des ans des siècles.

Un auto-portrait.

Evidement pas Typo Andy Warhol.
Il utilisait des visage connus,
immédiatement reconnaissable,
son oeuvre était de cet impact direct.

Mes toiles sont plus longues à se dévoiler.
Il faut aimer s'y promener, chercher,
s'y reposer, s'y laisser aller.
C'est une gambade,
parfois une gigue,
et tourne tournes,
des points de vue
en veux-tu en voilà.






Sais-tu que je suis célèbre ?
Mon quart d'heure perso quoi.
On me fit un blog rien que pour moi,
avec mon analyse psychologique, des photos,
et tout un village vint m'y rendre hommage, acquiescer.

On me décerna sans droit de réponse le titre de pervers polymorphe
Je dis ça parce que ça m'a aussi trop fait rire,
ne culpabilise donc pas ainsi,
met-toi un peu à ma place au lieu de
regarder le troupeau pour savoir quoi penser.
Et dire.

- Légendaires Viand'Vioks -
présente :
 " La Légende du ben non, ça fait répétition là,
faut dire :
" Le retour du Serpent à Plumes "
Explicatif & secousses binaires,
pour ne pas dire bipolaires
Atmos Sphères
d'Airs

Mets ta cagoule



Sais-tu que je suis un être de grande influence ?
Mes mosimages étaient comme du feu.
Beaucoup d'internautes,
anonymes,
se sont enfui(e)s
aux abords de mon passage.

Quand tu creuses un puits,
tu crées forcément une margelle.
Y'a pas de trou sans bord ! kapiche ?
Je n'ai donc pas besoin d'inventer l'existe.
Vu ?

Tu le connais mieux que moi puisque c'est toi qui l'a fait :
pour respecter ta liberté de présentation
avec ton droit de censure.
J'étais loin d'imaginer telle violence,
je te parlais te disais bonjour,
de là à me la couper...

Je ne m'y suis jamais habitué.
C'est loin de moi maintenant, je fais ce qu'il faut.
Je suis le Diogène des temps présents,
je vis dans une cage de lumière
à l'abri de tes mots.



 

Enfin, presque :
j'ai une page de commentaires possibles,
On ne s'y bouscule pas.
Ils chatent ailleurs.
Miaooou.
e-bÔ







lundi 13 février 2012

T'chõ, chemins d'utopie


Lumières éteintes
De mille chants d'amour
de mille notes chantant leurs espoirs
leurs ivresses de liberté, de construire, d'élever,
il n'y avait là que margelles côte à côte, abreuvoirs sans fond,
vitrines lumineuses où d'autres venaient poser éclats,
leurs liens à "viens voir chez moi c'est bien",
dis-moi que c'est beau, les autres ont le droit de savoir.

Quand tu rencontres un inconnu,


Pom pom pidou
Quand tu rencontres un inconnu,
il se produit un rapport, un point de contact,
un début d'intersection de deux sphères.
Si tu lui fais un premier présent,
il ne parle que de toi.




Si tu l'offres en croyant sa place, si tu ne sais pas ce qu'est l'infini de l'Inconnu, si tu ne sais pas l'Autre et Son Mystère, il est très probable que tes connaissances de pirthékantrop l'aient déjà mangé. - le 14-10-2010-ndr-§°°°

 Dès lors, que pourait-il t'apporter qui ne soit déjà dans ta besace ?

"Un voleur ne voit que des poches"





samedi 11 février 2012

+ 1 = 3

C'est une note spéciale wizzz.
Pour informer de la mise en place d'une mosimage.
Parce que si la mondialisation est en cours, la technique locale de mises à jour des photos est franchement défaillante et ce, depuis...pfff...
Personne ne dit rien alors c'est que c'est bien comme ça.
Un jour, j'ai vu un troupeau se mobiliser pour que les menus soient déroulants, pour pouvoir aller plus en arrière des mises à jour blogs. Je trouvais cela très bien. Je ne sais pas si beaucoup l'ont su, j'étais sous le joug de la territoriale censure.
Depuis, rien.
C'est que c'est bien ainsi.
 Je trouvais sympa la revue "on aime", jour après jour.
Cela rendait la plateforme plus vivante.
Même si essayer que se soient les blogeurs qui mettent en avant un des leurs...
Aujourd'hui, c'est une fois par semaine.
Cela semble ne préocuper personne.
 C'est que c'est bien.
J'imagine
Troupes heureuses.

Parce que lorsque Télérama montre son "coup de coeur" journellement, On sent bien l'aléatoire du choix. Un coup ci, un coup par là, au hasard de ses rencontres.
Par contre, quand son élu s'installe si longtemps devant Nos yeux,
perso, ça gave !
Propagande forcée, appuyée, privilège d'un pouvoir sans discussion, critique, évolution possible.
Quels critères, arguments, et touti patatis aptes à entrainer une vraie connaissance, reconnaissance.
Donner à voir.

M'enfin, avec mes 18 blogs explosés, pas trop envie de "rediscuter" avec lui, moi.

L'est vachement puissant,
oh Grand Phare-à-on Télérama !
En plus, il a un service juridique spécialisé et il te le fait vite savoir.
Essaye toi ! comme t'es ben polite et avec un peu de chance, il fera comme d'habitude :
il ne te répondra pas,
tu n'insisteras pas,
et ton blog ne risquera rien.
 Cette "chiure de mouche"
parmi 7500 autres.
 
Joli tiroir,
début XXI ème
  

 Ton blog,
le temps que tu y as passé(e)
ta collection d'amis, ta boite mail à mails,
tes images, tes notes, tes traces jour après jour,
tes commentaires, ceux qui couvrent cette plateforme,
ce témoignage social de ton passage.

Ben ! où vas-tu ?
Reste ici,
ailleurs,
tu y répéterais tes mêmes schémas,
y'a des chances...
oulalala ! elle est longue cette note !
ça risque de faire beaucoup pour le zapping des p'tits piou-pious qui comprennent tout. 



vendredi 10 février 2012

Occupation


J'ai plein de choses à faire si je veux.
Ecrire sur les djinns, le Diable, le Léviathan.
Ecrire sur quelques aspects concernant la peinture,
ou un peintre en particulier, comme un lièvre peint à peau,
ou encore sur ce que je pense d'un regard de la société sur l'art.
Parler en son nom : tous dans le même sac ! 
mmm, j'ai déjà écrit là-dessus,
il me semble.
pfff, kétaf, kétaf..
Choisir, c'est se priver.
Lente décantation.

Légendes structurelles.

"Deux lumières" - Toile numérique



- Dieu égare celui qui est pervers et celui qui doute -
35 Ceux qui discutent au sujet des Signes de Dieu sans en avoir reçu mandat, provoquent la grande haine de Dieu et des croyants.
- Dieu met un sceau sur le coeur de tout tyran orgueilleux -

Le Coran - Sourate XL - CELUI QUI PARDONNE


"La liberté de la presse ne s'use que quand on ne s'en sert pas"
Le Canard enchaîné.

sert pas, sers pas, le cher pas du sherpa ouf ouf ouf ! ie me gausse tiens.




mercredi 8 février 2012

Barbotus politicus


Ecrire, c'est facile.
Tu parles...
Je suis seul sans l'être, et puis,
il y a ces élections, aux seins des médias.
Cet esprit que j'écoute, articulé autour de sa pensée,
de son coeur, de son amour des hommes,
il se meut à leurs systèmes,
il croit aux possibles.
 Au partage.

J'y crois aussi.
oups !
Je fais à mon niveau.
Au jour le jour,
en cet écrin à mes pas.

Des hommes le suivent.
S'il était élu, qu'adviendrait-il ?
Claqué aux murs des pouvoirs de l'argent ?
S'il continuait la marche qu'il donne à voir aujourd'hui ?
Que penser d'hommes qui poussent aux guerres pour s'enrichir ?
Donne pas cher de sa peau moi.
Bref,
la politique,
subalterne distinguée,
ce n'est pas trop mon dada.
Quand je pense que nos pères
se sont battus pour des acquis sociaux,
que d'autres ventilent jours après jours,
trèèès raisonnablement intelligemment,
des kings ! Des icônes de grandeur,
héros civilisateurs, phares à On,
greffés aux vastes intérêts
de leurs fions.

ah ! le monde bouge !
On n'avait pas vu.
Heureusement que t'es là.
ah ! on ne peut pas faire autrement !
Faut s'y plier : tes visions pour nous :
que progresse by humanus,
la richesse tangible
de tes cercles,
de ta main.









C'est facile d'écrire.

C'est facile d'écrire.

Regarde cet enfant et ses pinceaux. Il peint.
Il commence, il va. Il s'arrête.
Comment peut-il continuer à donner ?

C'est facile de peindre.
Regarde comme j'écris.

C'est très difficile pour toi, je sais.
J'écris sur un blog, un fragment de toile,
mes notes se marquent en longue file indienne.
Etale page verticale que survole le regard d'aigle.
Sur wizzz, clic clic ic tu te les manges une à une,
déconnectées : crois-tu au hasard de tes pas,
qui semblent façonnés aux bruits du bruit ?
oh ! Quelle est cette note bleue, là-bas ?
Une écume ? Un signe ? Qui vive !

Petit bouchon emporté d'autres bruits que vents promènent.

Dissolution.
L'écume retombe blancheur Baltique. 
Le signe se perd aux flots pirthékantropiens.
L'influence déjà s'estompe et sombre.
La mer n'est pas un horizon,
cieux et profondeurs,
ses perles offertes 
aux plongeurs assidus,
aux oiseaux des passages.

Ami, reste donc un peu avec moi,
avant d'encore hisser tes mots, tes couleurs,
aux lumières d'autres lumières,
avant ces feux follets,
offerts aussi au
Temps.

Es-tu si pressé(e) de briller ?
Sais-tu que les vaches broutent avant de péter ?
 Toutes à leur tâche serait-ce une tache,
quel est donc ce tété plancher ?
C'est un wizzzzzzzzz !
mère Baltique,
Madame, Monsieur...

Reste donc encore un peu avec moi,
qu'as-tu mieux à faire ?
Mille choses, je n'en doute pas.

Lire et relire, des lires et lyres là,
où se glissent tes pas.



lundi 6 février 2012

Appel aux intellectuels du Wizzz


Appel aux forces vives !

Politique fictions
 l'atelier de Télérama,
fer de lance de la propagande du Wizzz,
est en complète léthargie.

Quel spectacle pour les visiteurs que de voir cet haut lieu de concentration médiatique, reflet des capacités intellectuelles de la plateforme, végéter ainsi dans l'envasement des premières approches !

C'est déjà fini ?
the power imagination ?

Laisserez-vous les anonymes de Télérama,
les rédac'chefs, les journalistes, la standardiste, qui sait ?,
tirer aux dés la mise en valeur médiatique des + pertinentes propositions ?
Ok, je ne suis pas jury, ils feront comme ils veulent,
je préfère ma place.

Où sont les artistes, les poètes, les écrivains et touti patatis !?!

Tisseurs d'influences culturelles sur la toile.
Quel courage...

Où sont l'humour, la joie, l'indignation, les mises en avant, les craintes, les refus,
les espoirs étayés, les chemins personnels qui trouveraient ici matière à leurs expressions les plus profondes, les plus superficielles de spectateurs attentifs à leur civilisation, à leur démocratie, point d'orgue de leurs voix s'il en faut un.

Y'a personne ?
La carotte de la récompense est insuffisante ?
N'y aurait-il que cela pour animer vos pas au monde ?
L'avis même de votre non-participation est-il sans importance ?
Ombre parmi les ombres qu'aucun lumière ne justifie, ne se confronte ?
Tu as peur que Télérama te censure si tu ne dis pas comme il veut ?
Quoi que tu fasses ou ne fasses pas,  tu as raison.
Vos oeuvres vous regardent.
C'est super.

Sachez qu'Eric,
visiteur parmi mille visiteurs,
n'en est qu'1 de plus.

Hugh !



Y'aurait-y pas comme une odeur de pomme ?
- Ben non.
T'as le nez bouché ou koi ?




Terres culturelles

Terres culturelles

Qu'est-ce qu'une pensée qui ne s'exprime pas ?
Tracer parmi les nébuleuses le passage de ta présence.
clic clic clic
Un jour, l'homme commença à enterrer ses morts.

Je dis un jour, comme ça,
par habitude de langage.
Comme un jour,
il fit de sa main une inscription.

Comme il s'appropria le feu.

Pour en revenir à l'autre que l'on enterre, Eve et Adam étaient passés par là, liens d'Amour.
Connais-tu plus belle histoire pour aller de l'état concupiscent, d'animal uniquement centré vers sa seule vie, sa seule satisfaction, à celle de l'humanité ?

Ce passage du 1 au deux.

Miroir d'évolution.

Terres culturelles,
pfff, kétaf, kétaf,
j'y reviendrai,
sLv

dimanche 5 février 2012

L'égarement court sur les réseaux

L'égarement court sur les réseaux 
Ils disent sociaux les zozios

de rien...

rooo... qu'est-ce que j'ai pu rigoler sur le wizzz !
Heureusement que j'ai pris des photos, des e~pixels,
pour pouvoir m'en souvenir, heureuses notes à bord de Boat.

Ils devenaient fous, oin-oins, kékécoucous quand je leur disais bonjour.

Avec ce bouton de contrôle TOTAL sur la question qui leur guiloumastiquait :

- SUPPRIMER -

 mes mozimages, c'était de la dynamidque,
  chacun d'y cliquer sa mise en bise, du cou.
Ils n'ont rien vu : ils avaient des armes.
Les armes se lièrent aux armes.
Les boucliers s'unirent.
L'armée leva.







Bien que seul, j'étais vachement entouré !
Souvent dans les plus populaires,
plusieurs semaines,
je ne te parle même pas
de la série " les + commentés",
j'y logeais parfois.

Alors je leurs ai dit
que Jésus était déjà passé,
que ce n'était donc pas la peine de recommencer le Calvaire, la mise à mort et tout le bazar avec moi.
Je leurs ai même montré un doigt tendu rigolo, en forme de bonhomme,
une ré-interprétation très personnelle de la Vénus de Botticelli pour qu'ils comprennent bien ce qu'ils allaient faire puisqu'ils étaient en train de le préparer et que cela se voyait.

onecom L,
fallait le faire kan m^m !
:)))
Je ne montre pas les autres avatars,
- ils me censuraient tous -
c'est plus prudent,
sauf celui à la pomme,
puisque ce blog m'était dédié,
pour pouvoir parler en paix sans moi.
&
Se moquer de mon rêve,
cette proposition, vers un espoir de regard,
cette petite phrase, comme un chemin de clarté,
" faut faire voter les enfants "
Hugh !

Vois-tu où s'en va buter ta raison ?
Celle de tes chefs politiques,
puis des autres ombres,
as-tu compris
quoi ?


"Des cercles et des hommes"
C'est ioli
comme titre,
pour une note prochaine...

comme un e~ricochet Dan l'O
en tout petit





samedi 4 février 2012

Sacrés athées !


Quand j'étais petit, je voulais être musicien.
J'ai un peu appris le tambour,
traversé un village avec la fanfare municipale,
puis commencé le banjo.
Et puis et puis,
quand venaient les souvenirs des fêtes et des danses,
je me disais que la musique, ce serait bien pour m'occuper si je me retrouvais à la retraite, espace que je n'imagine toujours pas vraiment.

J'aurai bien aimé réunir les athées et les croyants.

Ce sont des hommes, ils sont bien pareils,
êtres culturels avec en leur centre,
le Grand Mystère,
la Nuit.

Celle de l'Orient aussi bien.

Tous des palapalalas et hop !
tous dans le même sac !

Tu veux une pomme ?

Regarde donc ce pépin noir,
géant en devenir.
Goute ce jus des cellules baignées,
pour moi, le seul qui vaille,
c'est l'Amour.

Tu veux lui donner un nom ?
Va-y.
installe,
échelle après échelle,
tes peaux d'horizons en étalons.


 Cette barrière comme des masques que tu portes,
parfois si fragile, prête à rompre au premier cil du regard d'un autre.

Et puis cette pensée qui s'échappe de ne pas être freinée,
fumée dont tu sais déjà que la retranscription,
en sera une autre.
Tu as raison.
Cavalier cosmique
j'ai vu ton épée tournoyante
avalant toutes lumières,
oui, c'était un rêve.

sLv












Eric, tu rêves ?


Tu rêves !
Oui, à l'histoire. Celle qui fit le grand trou parmi les Juifs, les Indiens, d'ici ou là.
Tant d'autres dont on ne connaitra plus rien.

échelle, d'après Valserine.
http://www.ipernity.com/home/96322

J'aime penser les échelles : elles ne me mentent pas, même si parfois, je ne sais pas les lire.


PONTONNIERS

Il faut deux rivages à la vérité : l'un pour notre aller, l'autre pour son retour. Des chemins qui boivent leurs brouillards. Qui gardent intacts nos rires heureux. Qui brisés, soient encore salvateurs pour nos cadets nageant en eaux glacées.

René Char, le Nu perdu.



vendredi 3 février 2012

Ma peinture



la vraie je veux dire, celle d'acrylique et compagnies des huiles de bonnes fortunes.
Parce que pour celles qui sont du virtuel bienvenu même que Lulu s'y colle,
virgule basse,
c'est pas la même chose.









" Mainkidi Salute Bicoul ", aujourd'hui, acrylique sur papier kraft, 63 x 86 cm
Alors je peins tout là-bas, chez moi,
dans mon petit bout de terrain,
dans mon salon côté :
canapé.
Je deviens pour des temps le musicien aux compositions ultérieures.
Comme tu vois, chaque étape de ce chemin est juste.
Certains sculpteurs disent qu'ils ont souvent l'impression que l'oeuvre était déjà dans la matière, qu'ils n'en furent que les "accoucheurs", si je peux me permettre.
Pour moi, c'est pareil avec la surface de la peinture.
Il faut une vie derrière soi pour obtenir cette liberté.
Petite ou grande.
 
 

Alors je peins tout là-bas, chez moi,
dans mon petit bout de terrain,
dans mon salon côté :
canapé.

Je deviens pour des temps le musicien aux compositions ultérieures.
Comme tu vois, chaque étape de ce chemin est juste.
Certains sculpteurs disent qu'ils ont souvent l'impression que l'oeuvre était déjà dans la matière, qu'ils n'en furent que les "accoucheurs", si je peux me permettre.
Pour moi, c'est pareil avec la surface de la peinture.

Il faut une vie derrière soi pour obtenir cette liberté.
Petite ou grande.







Signe en bagage


Tu voulais quelque chose ?

J'avais un rêve :
que les enfants votent.
Pour changer ton regard,
celui que tu poses sur le monde,
sur l'autre et les autres.
Pour qu'il s'ouvre
aux promesses futures,
cet inconnu en chacun de nous.
Que se modèrent tes viles possessions,
aux méandres de tes raisons pour toute(s saison(s.



jeudi 2 février 2012

brrr

brrr
13° chez moi.
J'habite sous des combles mal isolées.
J'ai très chaud en été.
Le soleil tape à ma fenêtre,
alors je reste là,
baignant mon visage,
je remercie cette providence,
ce chez-moi à l'abri de froids plus violents encore.

Je me souviens,
promu sdf de luxe,
au volant de ma voiture.

Je me souviens de cet instant d’abattement, ce moment où je glissais la clé de contact : comment avais-je pu en arriver là ? Sortir de Strasbourg pour dormir loin des regards, j'aimais les champs de maïs. Mes enfants, quel père étais-je devenu ? Comment gérer ce changement d'image ? Que pouvait-il m'arriver de pire ? Toutes ces choses qui m'écrasaient, poitrine sans souffle.
Je tournais la clé de contact :
il ne se passa rien.

Petit(s) bouchon(s)

Il y a
des fenêtres à ma fenêtre.
Elles rêvaient d'attention,
d'autres choses,
sans trop savoir.
Elles se posaient là,
pensant le remarquable.
Et cela était. Ne montraient-elles pas,
l'important du bout de leurs jours ?
L'important de cet instant,
de cette arrivée ?

De leurs frondaisons,
elles en choisissaient à leurs yeux,
le lumineux éclat,
nourrit
de mille racines.
Est-ce cela la clairvoyance,
se dire qu'il n'était pas là par hasard,
aller jusqu'au bout, "de la relative inversion".


" Nous sommes tous des artistes "
Witold Gombrowicz, in Ferdydurke
1937

mercredi 1 février 2012

Le lunatique


Le lunatique est dans la Lune
habillé de bleux
habillé des yeux balbutiés encore
un vent frais un vent rose, dis, l'auras-tu ?
Le lunatique se prend des tics
gratte ici
ou là !
palapalapapalapalapalapapa !
Ben t'es où ! ? !
Lunatique jusqu'au bout des poils
Grand yack des steppes
Ou lala !
Et ça court !
Troupeaux-ci par là et peau d'troupeaux !
Meuhhhh, du calme la BÊTE !
On ne voit rien de toi,
rassures-toi.
Tes mails discussions sont sans ici,
tu vois bien.
Tes soutes-terrains,
sont bien gardées.
Du concédé,
trop aimable, vraiment.
Vos oeuvres réchauffent ma vie,
lanternes au fil de mes jours, de mes nuits.
Je bois à vos mouvements aux algues de ces flots,
habitant du côté de chez toi, chien errant,
l'anonyme au pas de ta case,
vent blanc et sec,
je bois.
\|/


  Je te laisse colorier à ta guise ce petit texte si ça t'amuse.
Personnellement,
je le peindrais comme un petit bouchon,
comme celui que regarde pécheur assidu regard pointu.

Le rêveur de cigarette


Anonymes de la toile

Se relancer en des peintures grand format.

Une étoile !
C'est un avion dans la nuit.


Bousculements
Tergiversations
Un pas à droite, un pas à gauche.
Une foulée, où vas-tu ? !
Que regardais-tu ?
Voulais-tu fuir ?
Du reflet sur les tuiles.
Je fume.
C'est un début, une fin, in ma vie si coulante.
Meurs donc ! puisque c'est ton destin !
Volutes en voulûtes-vous,
si douces.
Avant que ne reprenne la course.
Regarde ! Celle de tes pas.
Pas à pas.
Pas là, pas là, là.
Palapalala
Respire.
Respire l'immensité du ciel,
il est neige aujourd'hui,
huis-clos de tes ivresses élevées,
que déjà t'arrive boule en main.
Qui cherches-tu ?
Qui cherchais-tu ?
Ton âme soeur qui te ressemblerait,
caricature immonde, était-ce là ton unique Toi ?
Qui juges-tu de cet oeil noir, malin comme un singe ?
Ou qui regardes-tu, cet Autre en son ivresse de vie,
arabesques belles commes tu vois tu crois ?
Quand s'en vont les ramures de raisons
Fume petit ! Fume !
Que tu rêves à de nouvelles saisons,
sais-tu bien le contenu de ton petit sac à do do ?
Entends-tu l'enfant qui ne te quitta pas ?
Marquant tes pas, pas à pas,
en ton dos,
là.
Respire.
C'est une rare plongée.
Elle a besoin de ta volonté.

Comme je suis designer graphique, ouarf ouarf, je te laisse choisir la couleur de cette petite amphore textuelle, sémaphore qui va fort, peuplée de si chouettes phosphorescences.

La parole dépourvue de sens


Couche

Nous ne sommes pas une franche volonté, mais l'instrument dévié d'une volonté perfide interposée entre l'obscurité et nous, entre la vigueur, le désir et le loyal terme solaire.

Un jour, maudit entre tous, le prêt devint propriété et le don lieu de ruines.

Il ne faut pas offrir la fleur au fruit. A bout d'espoir, il s'y glisserait.

La parole dépourvue de sens annonce toujours un bouleversement prochain. Nous l'avons appris. Elle en était le miroir anticipé.

La terre, ses brouillons de fortune, l'infini, l'indéfini, une impropre souveraineté, l'amour inséparable de ses meurtriers, se consument ensemble et en nous. L'ombre du temps couvre ce secret.

J'ai vécu dehors, exposé à toutes sortes d'intempéries. L'heure est venue pour moi de rentrer, ô rire d'ardoise! dans un livre ou dans la mort.

René Char, Le nu perdu.