dimanche 4 décembre 2011

Un petit pas

C'est un petit pas, un pas de rien. J'avance dans la nuit, éclaire par
quelques mots, quelques images qui sont plutôt que rien, plutôt que mort
ici culture.

Je marche entre néant et cette apparence de vie, où subtil se charge d'intention en supplément d'âme.

Funambule des rives, j'avance aux frontières de mains naissantes
mes possibles vrais, ceux-là même que tu refuses de voir, élévations de
tes armes, poids de tes bottes, folle ta langue des vaines sécurités.




Border, 20 x 30cm, papier glacé sur papier photo

Quoi ?

Bien sûr que tu peux mettre des coms :

http://wizzz.telerama.fr/hermite/commentaires

Tu m'excuseras si je ne te réponds pas forcément directement : je tiens à la survie des quelques blogs qui sont en corps sur cette plateforme. L'expérience m'a appris qu'il ne sert à rien de discuter avec des nazis, c'est dangereux et pis c'est tout.

"La simplicité est la sophistication ultime." — Leonardo da Vinci (1452–1519)

Un regard que je partage. Je suis un paslapaslala. Comme toi. C'est juste que tu ne le sais pas encore.

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqacfzO2pDVVy_wYamvjApLBWFItE3EQTM1rrjHYlpdqjk2vsKGpeR9wK3DWb0TfYH2YbwajAiyVHfM1gkMR3HarP44um8T20aXFowCMdY3AsLQixsxL-cr0axr8DKL7XZ1tM0Te_ctQ/s800/IMG_3532.JPG

C'était mi le plus petit.

C'est sûr, on aurait pu en discuter.

En 3 ans, on aurait pu discuter de beaucoup de choses.

Depuis le monolithe par exemple : http://wizzz.telerama.fr/Pixelbleu/blog/358432362

Tinter nos diapasons au seuil de la vérité en remplacement du cliquetis de tes armes greffées peau, maître de ton obscurantisme chronique et répétitif.
L'avancée par destructions.
Ces bords de toi.

Demains pliés.

kling !

klong !

t'chac !

Ta tête in guidon que troupô mouv'

Aucun commentaire: