dimanche 4 mars 2012

La vitesse du trait

Titre : " La vitesse du trait "

Si tu dessines, ton trait a la vitesse que tu lui donnes.
C'est une évidence.

En temps que peintre, j'ai appliqué cette évidence à mon geste.
Il y eut des peintures à 50 % douces des mètres-secondes.
D'autres, courtes à en faire pleurer des Anges portés.
D'autres encore en corps des veines ivresses.

C'étaient des toiles de solitude oh oui !
Exaucées... jusqu'à l'impossible tissage,
l'usure à la lime à la scie à la peau du sang.

J'ai appliqué cette évidence à mon geste, en fut marqué
d'une nuit touti d'jinn's là bo labo là bala bala là.
d'une nuit dis Pire, t'es qu'en trop oups !
Ca m'a tchappe, le chappy chappo.
d'une nuit aux ivresses d'ors.


Et tu voudrais voter pour moi !

Ce serait te mettre dans une impossibilité pratique,
qui se voit toujours aux fils des jours qui s'échappent de tes chaudes narines,
patates flottantes en vue ! Chaud ! Chaud devant ! Suivez-moi que je vous écrase moi, moi.
MOAAAAAAAAA ! ! !
jusque dans le grave des voix que mille rochers écrasent du poids de leurs ancêtres,
qui les ont menés jusque là, pas là pas là là.


J'en appelle aux musiciens, aux chanteurs, aux troubadours de l'Amour,
de montrer à qui de droit appartient ce que sur Wizzz il convient de faire,
simple devoir, pour montrer à ce prof impotent du verbe et de la phrase,
Que le jazz a plus que montré la richesse dans la répétition du thème.
Par exemple...

Mets un post-it sur le cactus : il t'en dira plus, c'est une évidence.

Il existe au monde des êtres malheureux qui deviennent tyrans, ils ont appris cela.
Ils ont tirés le vin maudit venu des âges farouches et n'étaient plus en Paix.
Etres fragiles, souvent vêtus de peaux, dignes et posés, tip's-langue.
La sortie, c'est par là, ne vous bousculez-pas ! Vous êtes filmés.

Alors reste !
Depuis quand es-tu ici ?
3 semaines, 3 mois, 3 ans ?
Qu'as-tu apporté et à qui ?
Je ne te vois pas d'ami.
Ou alors, c'est qu'il est bien caché.
e pour les femelles à peaux lisses,
couvertes aux écailles sélectives.


Mon frère ! Ma soeur ! Si tu savais...
Si tu savais comme l'on s'aime sur internet.
Juste avant le fouet silencieux du tais-toi maintenant,
Ze te zappe de ma vie, c'est facile, simple, zamais tu ne fus là.




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